Jacques Lavau
2006-04-04 14:04:27 UTC
Civiliser les mâles, qu'elles disent :
Un mariage infernal - Chapitre 1
par ***@caramail.com
Une femme asservit totalement son mari
---------------------------------------------------
Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de
"His Awful Marriage", de Michael Freemont
paru dans "Miscellaneous Twelve".
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==============
= Chapitre 1 =
==============
Michel se sentait très mal. Il se sentait très mal comme chaque nuit
depuis son mariage avec Diane quinze ans auparavant. Et comme chaque
nuit, Michel se trouvait sous les couvertures, sa tête entre les cuisses
puissantes de sa femme, sa bouche sur son sexe et son nez sur son anus.
C'est ainsi qu'il devait rester toutes les nuits, telle était sa loi
monstrueuse qu'il avait appris à suivre depuis déjà si longtemps. Comme
toutes ses autres lois. Sa femme dormait mais lui restait éveillé. Il n'y
avait pas d'air frais là-dessous mais, pire, chaque inspiration apportait
à Michel l'odeur infecte des fesses pas très propres de sa femme. Comme
il haïssait cette odeur ! C'était dingue. Quel homme était fait pour
passer ainsi toutes les nuits de sa vie avec son nez entre les fesses de
sa femme ? Mais dingue ou non, depuis leur lune de miel quinze ans plus
tôt, Diane avait toujours été inflexible. Elle avait établi clairement
que c'était là la place de Michel chaque nuit. Point barre. Elle avait
insisté sur ce point lors de leur lune de miel, et durant les quinze
années suivantes c'est ainsi que Michel avait passé chacune de ses nuits,
et il avait appris pendant la première année de son mariage que cela ne
servait à rien de discuter, de se plaindre ou de supplier, rien ne
pouvait la faire plier. Et après quinze ans de mariage il en était
arrivé à admettre que c'était ainsi qu'il devrait passer toutes ses nuits
durant tout le reste de sa vie.
Michel restait réveillé durant la majeure partie de chaque nuit.
Comment quelqu'un aurait-il pu dormir ainsi ? La plupart des gens dorment
avec la fenêtre ouverte afin d'avoir de l'air frais, mais Michel n'avait
pas ce droit. Oh que non. Michel devait respirer la puanteur du derrière
odorant de sa femme. Et, encore pire, Diane avait souvent des gaz et
pétait donc régulièrement durant la nuit. Chaque nuit. Et comme il avait
son nez directement dans son anus...
Durant la première année de leur mariage, elle lui avait martelé que
c'était là sa place et qu'il devait y rester chaque nuit. Elle avait
toujours répondu à ses supplications cette première année avec sa logique,
parfaite, et toutes ses réponses entraînaient une seule conséquence :
qu'il devait rester là-dessous. "Michel, mon coeur, je sais que tu aimes
l'air frais, mais j'ai bien besoin d'une couverture, il fait froid la
nuit !", ou bien : "je sais que je pètes beaucoup, Michel, j'ai toujours
des gaz mais que puis-je y faire ?" ou encore : "oh Michel, chéri, tu es
donc si bête ? Bien sûr mes fesses sentent. C'est mon cul ! Je chie par
là ! Comment espèrerais-tu qu'il ne sente pas ?" Elle ne débattait jamais
du fait de passer ses nuits en-dessous ou non, mais elle déplaçait la
question sur un autre point. Ce qui terminait toute discussion. Point
barre.
Et il devait non seulement rester avec sa tête entre les cuisses de sa
femme durant toute la nuit, mais il devait s'assurer de ne pas la bouger.
Même s'il s'endormait il devait s'assurer que son nez restait bien calé
dans son anus. Sa femme lui avait inculqué ça durant la première année de
leur mariage. "Michel chéri, si on peut apprendre à un petit garçon qu'il
ne doit pas pisser durant son sommeil, je pense donc que toi, un homme
adulte tu peux apprendre que tu ne dois pas bouger ton nez de mon cul
quand tu dors." Elle lui avait expliqué combien agréable c'était pour
elle de sentir son nez là, et Michel avait fini par apprendre que seuls
comptaient ses désirs. Le fait que c'était un vrai enfer pour Michel
n'avait aucune importance : cela était agréable pour Diane. Par-dessus ça
elle ajoutait qu'elle ne voulait pas le voir se promener dans la maison
durant la nuit, et avec son nez dans son derrière elle pouvait s'assurer
de sa présence.
Et, bien sûr, elle lui avait expliqué que lui laisser son nez dans
son anus l'affectait psychologiquement de la façon qu'elle souhaitait.
Cela
maintenait Michel dans l'état soumis et serviable qu'elle désirait.
Docile,
soumis et faible. Cela permettait de détruire toute confiance en lui et de
retirer toute fierté de sa tête de pioche : elle trouvait ces traits de
caractère absolument intolérables chez lui. Michel savait bien qu'elle le
punirait sévèrement s'il laissait glisser son nez hors de l'anus de sa
femme ne serait-ce qu'une seconde. Et ainsi chaque nuit, à chaque
inspiration, il devait supporter l'odeur écoeurante de l'anus de sa femme.
Durant toute la nuit, toutes les nuits... Et après quinze années il s'y
était habitué, même s'il détestait ça tout autant que la première fois.
Michel passait le plus long des ses nuits sans fin en essayant de
sommeiller, utilisant les techniques utilisées par les insomniaques,
tentant de se relaxer, de compter les moutons, de respirer profondément...
Berk ! Diane avait dit à Michel plusieurs années auparavant que quand son
corps serait suffisamment épuisé il tomberait de sommeil, mais elle lui
avait clairement fait comprendre que cela lui importait peu qu'il y
réussisse ou non. Cela ne la concernait pas. Tout ce qu'elle voulait était
que le nez de son mari reste sur son anus. C'était tout ce dont il devait
s'assurer et qu'il le fasse en réussissant à dormir ou non n'était pas
son problème. Et ainsi Michel avait appris à sommeiller en laissant son
nez en position, ne le bougeant même pas en dormant. Mais il ne pouvait
dormir réellement que durant de courtes périodes, sommeillant au maximum
quelques minutes. Et avec les années Michel avait appris à vivre avec
cette contrainte et accepté ces longues et terribles heures sans sommeil
durant les nuits : il n'avait pas le choix. Il avait appris à accepter de
rester allongé là, avec son nez dans l'anus de sa femme, heures après
heures. Il s'efforçait toujours de penser à autre chose durant ces
interminables moments, n'importe quoi d'autre, pour oublier où il était,
mais à chaque inspiration l'odeur le ramenait à la réalité.
A suivre...
Un mariage infernal - Chapitre 1
par ***@caramail.com
Une femme asservit totalement son mari
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Ce texte est une traduction plus ou moins fidèle de
"His Awful Marriage", de Michael Freemont
paru dans "Miscellaneous Twelve".
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= Chapitre 1 =
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Michel se sentait très mal. Il se sentait très mal comme chaque nuit
depuis son mariage avec Diane quinze ans auparavant. Et comme chaque
nuit, Michel se trouvait sous les couvertures, sa tête entre les cuisses
puissantes de sa femme, sa bouche sur son sexe et son nez sur son anus.
C'est ainsi qu'il devait rester toutes les nuits, telle était sa loi
monstrueuse qu'il avait appris à suivre depuis déjà si longtemps. Comme
toutes ses autres lois. Sa femme dormait mais lui restait éveillé. Il n'y
avait pas d'air frais là-dessous mais, pire, chaque inspiration apportait
à Michel l'odeur infecte des fesses pas très propres de sa femme. Comme
il haïssait cette odeur ! C'était dingue. Quel homme était fait pour
passer ainsi toutes les nuits de sa vie avec son nez entre les fesses de
sa femme ? Mais dingue ou non, depuis leur lune de miel quinze ans plus
tôt, Diane avait toujours été inflexible. Elle avait établi clairement
que c'était là la place de Michel chaque nuit. Point barre. Elle avait
insisté sur ce point lors de leur lune de miel, et durant les quinze
années suivantes c'est ainsi que Michel avait passé chacune de ses nuits,
et il avait appris pendant la première année de son mariage que cela ne
servait à rien de discuter, de se plaindre ou de supplier, rien ne
pouvait la faire plier. Et après quinze ans de mariage il en était
arrivé à admettre que c'était ainsi qu'il devrait passer toutes ses nuits
durant tout le reste de sa vie.
Michel restait réveillé durant la majeure partie de chaque nuit.
Comment quelqu'un aurait-il pu dormir ainsi ? La plupart des gens dorment
avec la fenêtre ouverte afin d'avoir de l'air frais, mais Michel n'avait
pas ce droit. Oh que non. Michel devait respirer la puanteur du derrière
odorant de sa femme. Et, encore pire, Diane avait souvent des gaz et
pétait donc régulièrement durant la nuit. Chaque nuit. Et comme il avait
son nez directement dans son anus...
Durant la première année de leur mariage, elle lui avait martelé que
c'était là sa place et qu'il devait y rester chaque nuit. Elle avait
toujours répondu à ses supplications cette première année avec sa logique,
parfaite, et toutes ses réponses entraînaient une seule conséquence :
qu'il devait rester là-dessous. "Michel, mon coeur, je sais que tu aimes
l'air frais, mais j'ai bien besoin d'une couverture, il fait froid la
nuit !", ou bien : "je sais que je pètes beaucoup, Michel, j'ai toujours
des gaz mais que puis-je y faire ?" ou encore : "oh Michel, chéri, tu es
donc si bête ? Bien sûr mes fesses sentent. C'est mon cul ! Je chie par
là ! Comment espèrerais-tu qu'il ne sente pas ?" Elle ne débattait jamais
du fait de passer ses nuits en-dessous ou non, mais elle déplaçait la
question sur un autre point. Ce qui terminait toute discussion. Point
barre.
Et il devait non seulement rester avec sa tête entre les cuisses de sa
femme durant toute la nuit, mais il devait s'assurer de ne pas la bouger.
Même s'il s'endormait il devait s'assurer que son nez restait bien calé
dans son anus. Sa femme lui avait inculqué ça durant la première année de
leur mariage. "Michel chéri, si on peut apprendre à un petit garçon qu'il
ne doit pas pisser durant son sommeil, je pense donc que toi, un homme
adulte tu peux apprendre que tu ne dois pas bouger ton nez de mon cul
quand tu dors." Elle lui avait expliqué combien agréable c'était pour
elle de sentir son nez là, et Michel avait fini par apprendre que seuls
comptaient ses désirs. Le fait que c'était un vrai enfer pour Michel
n'avait aucune importance : cela était agréable pour Diane. Par-dessus ça
elle ajoutait qu'elle ne voulait pas le voir se promener dans la maison
durant la nuit, et avec son nez dans son derrière elle pouvait s'assurer
de sa présence.
Et, bien sûr, elle lui avait expliqué que lui laisser son nez dans
son anus l'affectait psychologiquement de la façon qu'elle souhaitait.
Cela
maintenait Michel dans l'état soumis et serviable qu'elle désirait.
Docile,
soumis et faible. Cela permettait de détruire toute confiance en lui et de
retirer toute fierté de sa tête de pioche : elle trouvait ces traits de
caractère absolument intolérables chez lui. Michel savait bien qu'elle le
punirait sévèrement s'il laissait glisser son nez hors de l'anus de sa
femme ne serait-ce qu'une seconde. Et ainsi chaque nuit, à chaque
inspiration, il devait supporter l'odeur écoeurante de l'anus de sa femme.
Durant toute la nuit, toutes les nuits... Et après quinze années il s'y
était habitué, même s'il détestait ça tout autant que la première fois.
Michel passait le plus long des ses nuits sans fin en essayant de
sommeiller, utilisant les techniques utilisées par les insomniaques,
tentant de se relaxer, de compter les moutons, de respirer profondément...
Berk ! Diane avait dit à Michel plusieurs années auparavant que quand son
corps serait suffisamment épuisé il tomberait de sommeil, mais elle lui
avait clairement fait comprendre que cela lui importait peu qu'il y
réussisse ou non. Cela ne la concernait pas. Tout ce qu'elle voulait était
que le nez de son mari reste sur son anus. C'était tout ce dont il devait
s'assurer et qu'il le fasse en réussissant à dormir ou non n'était pas
son problème. Et ainsi Michel avait appris à sommeiller en laissant son
nez en position, ne le bougeant même pas en dormant. Mais il ne pouvait
dormir réellement que durant de courtes périodes, sommeillant au maximum
quelques minutes. Et avec les années Michel avait appris à vivre avec
cette contrainte et accepté ces longues et terribles heures sans sommeil
durant les nuits : il n'avait pas le choix. Il avait appris à accepter de
rester allongé là, avec son nez dans l'anus de sa femme, heures après
heures. Il s'efforçait toujours de penser à autre chose durant ces
interminables moments, n'importe quoi d'autre, pour oublier où il était,
mais à chaque inspiration l'odeur le ramenait à la réalité.
A suivre...
--
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des
connaissances, par une "croyance" de base : nous croyons que les
experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent
contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre
la peine de vérifier, par des expériences.
-- Jacques Lavau (retirer les anti et les spam pour le courriel)
http://lavaujac.club.fr
La science se distingue de tous les autres modes de transmission des
connaissances, par une "croyance" de base : nous croyons que les
experts sont faillibles, que les connaissances transmises peuvent
contenir toutes sortes de fables et d’erreurs, et qu’il faut prendre
la peine de vérifier, par des expériences.
-- Jacques Lavau (retirer les anti et les spam pour le courriel)
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