Post by Deep silencePost by Le chat........................
:) J'avais prévenu que la psycho n'est pas mon fort... j'ai tendance à
la construire avec un bulldozer!
Plus je vous lis, et plus je vous trouve bien des similitudes avec une
mienne bonne amie de ce lieu. :-)
Oubliez ces engins de terrassement barbares, ce n'est pas mon ressenti. Par
contre, il se trouve que vous avez formulé nombre de réponses valides à
votre prope question. Dans ce cas, pourquoi ne pas ... laisser continuer
cette démarche ........ ? ;-)
Post by Deep silencePlus sérieusement, n'y a t il pas en graphologie quelque
chose a ce sujet?
Allez ! Je vais miauler un peu ;-)
En grapho comme en psycho - logie .. aucune idée précise.
Commençons par la définition peut-être ? Voici ce que j'ai trouvé :
http://www.synapse-fr.com/manuels/P_SUSP.htm
Points de suspension
Les points de suspension marquent une interruption de la phrase, cette
interruption peut même avoir lieu au milieu d'un mot (Vous avez vraiment vu
un fantô...). Elle peut être très riche en nuances : l'indécision,
l'hésitation, le respect des convenances, la réticence, etc. Les points de
suspension peuvent marquer, souvent en fin de texte, un inachèvement qui
sollicite l'imagination du lecteur. (Des fleuves indolents, des horizons
tranquilles, des nuages d'argent...)
Les points de suspension vont toujours par trois. Ils se confondent avec le
point final et le point abréviatif. Ils peuvent accompagner la virgule (Il
ne sait rien..., il ne voit rien...), le point-virgule, le point
d'exclamation ou d'interrogation (Il faut espérer qu'il en tire un profit,
sinon ?...). Selon le sens, on place ses divers signes de ponctuation avant
ou après les points de suspension. Avant s'ils terminent la phrase, après si
la suspension est pensée comme pouvant se prolonger.
On ne met jamais de points de suspension après etc. Les points de suspension
ne forcent la majuscule que s'ils se confondent avec une ponctuation de fin
de phrase.
Quant à moi j'ajouterais que les points de suspension entretiennent surtout
habilement l'ambiguïté. Mais bien maniés, ils peuvent traduire des états
profonds de réflexion intérieure, de prise de conscience. C'est tout l'art
du *non dit*, pour conclure.
*Ma* conclusion : Le point de suspension prend la valeur que le texte lui
donne. Donc pour pouvoir répondre à votre question, pour pouvoir percevoir
si vous en usez de façon pathologique ou non et ce que cela pourrait
éventuellement traduire, il faut nécessairement avoir des textes à analyser.
Voici donc ma possible (?) réponse à une impossible question ;-)
(\ _ /)
(='.'=)
(\( "" )
F E L I X
Cattus sum : humani nil a me alienum puto.